« Se préparer à l’imprévisible » , tel est le leitmotiv prôné par BTEE SA depuis fort longtemps auprès des aéroports qui le sollicitent pour une assistance au développement et à la mise en œuvre de leur plan d’urgence et de leur processus de conduite de crise.
Étiez-vous prêts ?
En 2007 déjà, lors d’un séminaire ACI au Caire, nous évoquions les risques de pandémie qui pourraient toucher le monde et frapper de plein fouet l’aviation et les aéroports. Les scénarios de l’époque se fondaient sur le risque du H5N1 (grippe aviaire) avec une fréquence de malades plus importante et une probabilité de mortalité plus faible que ce que nous vivons avec le coronavirus. Beaucoup d’entreprises et d’aéroports s’étaient préparés au pire. Entre temps, en 2009/2010, la crise du H1N1 s’est révélée nettement moins problématique que les simulations qui ressortaient du Règlement sanitaire international (RSI) publié par l’Organisation mondiale de la santé (OMS), et que les plans pandémie des États. Cette situation a conduit à une banalisation des risques de pandémie, quelques fois à un oubli, faisant fi du sacro-saint « principe de précaution » qui régit, habituellement, les réflexions en matière de santé et de sécurité.
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